Bon ben voila, on a dix pages à pondre à partir de ce thème !
Au premier regard, la jointure (je révise l'info en même temps) de crise financière et de juste valeur me rappelle ce que nous disait Astrid (pour les intimes) concernant la valorisation des entreprises par la méthode du Goodwill : cette dernière avait donné des surestimations de la valeur réelle entraînant une bulle spéculative.
Quant à la procyclicité, cela viendrait d'une prise de partie pour les grands cycles économiques introduits par Schumpeter puis par ses successeurs (Kondratieff, pas sûr pour l'orthographe, comme pour Rybzcsynski !). Une période faste précède une période de récession. Le lien entre tous les termes se trouverait peut être dans le fait qu'une période faste produit un effet psychologique optimiste sur les actionnaires qui ont tendance à acheter trop cher leurs actions entraînant une bulle spéculative qui éclate lors de leur prise de conscience (après tout, Friedman parlait du concept d'anticipations adaptatives) et entraîne une crise financière.
Empiriquement, cela s'observe avec les crises de 1929, de 1987, de 2000, de 2008. A ce sujet, on peut ajouter le fait que la mondialisation a entraîné une véritable accélération de l'économie, d'où l'abrègement des cycles, et tendrait vers une période unique qui joindrait croissance et récession... Enfin ça sort du sujet, ça peut faire office d'ouverture.
Vous en pensez quoi vous ? On pourrait s'entre aider pour se fournir en sources, et comparer nos plans ?
Au premier regard, la jointure (je révise l'info en même temps) de crise financière et de juste valeur me rappelle ce que nous disait Astrid (pour les intimes) concernant la valorisation des entreprises par la méthode du Goodwill : cette dernière avait donné des surestimations de la valeur réelle entraînant une bulle spéculative.
Quant à la procyclicité, cela viendrait d'une prise de partie pour les grands cycles économiques introduits par Schumpeter puis par ses successeurs (Kondratieff, pas sûr pour l'orthographe, comme pour Rybzcsynski !). Une période faste précède une période de récession. Le lien entre tous les termes se trouverait peut être dans le fait qu'une période faste produit un effet psychologique optimiste sur les actionnaires qui ont tendance à acheter trop cher leurs actions entraînant une bulle spéculative qui éclate lors de leur prise de conscience (après tout, Friedman parlait du concept d'anticipations adaptatives) et entraîne une crise financière.
Empiriquement, cela s'observe avec les crises de 1929, de 1987, de 2000, de 2008. A ce sujet, on peut ajouter le fait que la mondialisation a entraîné une véritable accélération de l'économie, d'où l'abrègement des cycles, et tendrait vers une période unique qui joindrait croissance et récession... Enfin ça sort du sujet, ça peut faire office d'ouverture.
Vous en pensez quoi vous ? On pourrait s'entre aider pour se fournir en sources, et comparer nos plans ?